27 avril 2024

Procès de Metzcou : retour sur l’affaire Cassandre

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Selon que vous serez puissant ou misérable Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.” Jean de La Fontaine, les animaux malades de la peste.

Qui ? Mais qui ?! Qui de plus misérable en l’an de disgrace 2021 qu’un jeune Français de sensibilité vaguement patriote, passablement sceptique sur les bienfaits tant vantés par la pravda de notre société « démocratique », « humaniste », antiraciste (à sens unique), cosmopolite et désormais « sanitaire ». A l’heure du progrès, de l’inclusivité, de la richesse dans la diversité, de la Science triomphante, de l’Etat grand protecteur des citoyens (sic), il existe encore des gens qui osent remettre en question l’immigration et ses merveilleuses réalisations (regardez Léonard De Vinci) ou la politique gouvernementale en matière d’injections expérimentales ; qui osent questionner la légitimiter de nos maitres, et comble de l’ignominie de les nommer. Car si ces derniers aiment à diriger d’une main de fer la canaille, usent de tout l’arsenal représsif à leur disposition pour nous intimider, nous menacer, nous condamner, ils souffrent en revanche de voir leur omnipotence outrancière et illégitime étalée sur la place publique. A ce titre, une dictature (une tyrannie meme)apparait comme bien plus propice à l’émergence de la vérité, à un minimum de liberté d’expression car jamais aucun potentat y compris le plus sanguinaire ne s’est offusqué de ce que le peuple puisse le reconnaitre comme tel.

En conséquence de quoi, la jeune femme à la pancarte devrait logiquement etre condamnée lourdement. Comme je l’ai indiqué dans mon premier article sur le sujet (https://xn--lerveildesmoutons-dtb.fr/le-qui-isme-nouveau-crime-de-lese-democratie/) j’ai malheureusement une certaine expérience en la matière : ayant appris à mes dépends que le droit permet de justifier à peu près n’importe quoi et lorsqu’aucune loi n’existe ou qu’aucune infraction n’est caractérisée cela n’empeche pas les magistrats de condamner malgré tout. Dès lors que les interets de leurs employeurs sont en jeu, la fable juridique s’effondre comme par enchantement sous les yeux ébahis du justiciable, éternel cochon de payant, cocu de cette sinistre farce. Si en outre l’accusé (par qui ?) a le tort de ne pas se répandre en excuses, de refuser de se soumettre à ses inquisiteurs et par dessus le marché d’etre identifié comme hostile au grand projet républicain, alors l’affaire est entendue.

En l’espèce ici, Cassandre coche toutes les cases. En défiant ouvertement le pouvoir et avec son profil de militante au service de la bete immonde, qu’importe les circonvolutions des avocats de la défense, les arguties juridiques, le procès médiatique a dès le départ rendu son verdict : antisémite – incitation à la haiiiiiiiine. Rideau !

Si l’on ajoute à cela l’intervention de pas moins de deux ministres pour l’accabler, la présence de douze (!) associations, parties civiles à l’audience certaines venues spécialement de leur tour d’ivoire parisienne pour abattre la jeune lorraine et la vitesse éffarante à laquelle la « justice », pourtant d’ordinaire si lente pour juger les assassins, les violeurs et les terroristes pour cause de manque de moyens nous dit-on, a été saisie dans cette affaire, aucun suspens quant à la nature du délibéré rendu le 20 octobre prochain. En effet je vois mal les juges de première instance ne pas céder à cette démonstration de force inouie, désavouer le gouvernement, sa police, ses médias et les plus hautes ligues de vertue.

Un compte rendu détaillé de cette parodie de procès est accessible ici (https://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers-justice/2021/09/08/pancarte-antisemite-cassandre-fristot-devant-la-justice-pour-provocation-a-la-haine-raciale). Je vous en recommande chaudement la lecture afin de voir comment se déroule la mise à mort sociale d’une opposante dans notre belle démocratie.

En premier lieu j’attire votre attention sur la présence du Conseil national de l’Ordre des médecins au sein des parties civiles. Cet aéropage douteux qui n’avait rien trouvé à dire lorsque les médecins s’étaient vus interdire de prescrire en pleine « pandémie » l’an passé, qui ne trouve toujours rien à dire concernant l’interdiction ce 15 septembre faite aux médecins non vaccinés d’exercer leur métier mais qui en revanche, s’intéresse visiblement beaucoup aux écriteaux brandis lors d’une manifestation à Metz en plein mois de juillet. Que de chemin parcouru depuis la création de cette noble institution par le Maréchal Pétain…

Ensuite, il me faut souligner à nouveau le caractère central qu’occupe les dites parties civiles dans cette machinerie bien huilée, si j’ose dire. En effet, vous devez savoir chers lecteurs, que chacune demande au titre de préjudice moral imaginaire ou non des dommages et intérets ainsi que des remboursements de frais de justice, bien légitimes pour le dérangement. On parle de plusieurs milliers d’euros multipliés par le nombre d’associations présentes. Ce qui signifie une dette et des soucis financiers pour des années pour la majorité des gens. Sans compter l’amende infligée par la cour.

Par ailleurs, nous apprenons que « pour les policiers chargés de l’enquête,depuis l’incident sur la chaîne CNews ce mot « Qui » est devenu une référence à la communauté juive. » Un travail de police dont néanmoins les preuves matérielles n’ont pas été présentées. Mais à n’en pas douter une jurisprudence fort utile et intéressante. Vous utilisez un mot lambda, un journaliste, un éditorialiste, ou n’importe quel petit marquis dégénéré du régime décrète d’autorité qu’il renvoie à un code secret dont lui seul (et vous ! ) ayez connaissance et vous voilà condamné. Tout comme la langue française à ce stade qui devrait progressivement etre expurgée puis démantelée en totalité.

En outre, est également porté à notre connaissance l’existence d’une brigade des crimes contre l’Humanité de la gendarmerie. Là encore que de chemin parcouru depuis le pont de Bouvines…Brigade qui lutte avec nos impots contre des morceaux de carton, des marqueurs noirs, rouges, jaunes et dont le travail acharné a permis comme chacun sait de rendre les rues de France et de Navarre bien plus sures à mesure des années qui passent.

Enfin, et pour finir, je voudrais revenir sur la stratégie de l’intrépide Cassandre de ne pas se présenter au procès. Je la trouve excellente et j’en veux pour preuve l’état de rage profond de bon nombre d’intervenants présents qui n’ont pas manqué d’y faire référence avant de commencer leurs diatribes pleines d’arrogance, de manipulation, de mensonge, assoifés de haine envers cette jeune femme. Ils auraient tant voulu se repaitre de son agonie, de pouvoir la livrer à la vindicte de leur tribunal, le tout largement relayé par leurs laquais médiatiques en signe d’avertissement à la plèbe : voilà ce qu’il en coute d’avoir le mauvais gout de nous déplaire, la ruine économique et sociale, la perte de son emploi, et une pluie de glaviots.


Les avoir privés de cette joie est en soi une victoire, ne pas se présenter à la réflexion la meilleure des stratégies. J’ajouterai celle-ci : en de pareilles circonstances ne pas dépenser un centime dans sa défense et
prendre le premier avocat commis d’office si possible issu de la diversité la plus diverse. Un maitre « Ekebe » local afin de signifier encore plus ouvertement le désintéret que l’on porte à cette imposture. Refuser d’etre le dindon de cette farce judiciaire, radicalement, totalement, voilà notre seule marge de manoeuvre, l’unique façon de préserver notre diginité.


Article écrit par Jules pour le Réveil Des Moutons.

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1 thought on “Procès de Metzcou : retour sur l’affaire Cassandre

  1. la République maçonnique, l’ autre pays du Goulag;
    bien que proclamé par Macron pays du droit au blasphème et de la Liberté d’ expression (licrasseuse).

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